Passion couteaux
Photo 1 - mes couteaux de cœur
Depuis la petite enfance cette passion. Peut-être parce que cet objet qui pendait au cou de ma grand-mère me semblait être le plus beau qui puisse exister sur terre.
13 mini couteaux pliants et gravés dans une vraie noisette ! C'est merveilleux, non ?
Sur cette première photo donc, les couteaux de Nontron, dans le Périgord vert. Souvenirs de vacances et d'enfance. Superbe témoignage du savoir-faire des artisans de nos régions françaises.
Leur particularité ? Un manche en buis pyrogravé, finition satinée. La lame est hyper tranchante. Bonheur.
L'office, à droite, m'a été offert par ma fille - qui me connaît bien- et il est simplement parfait au quotidien pour les petites découpes de fruits et légumes.
Photo 2 - mes couteaux de poche.
L'Opinel, un classique savoyard indémodable. J'en ai de toutes les couleurs, ici c est une sélection.
J'en offre souvent et je M'en offre aussi. Dans la poche pour toutes les balades, piques-niques, mais aussi au quotidien dans ma cuisine pour son tranchant.
Le suisse, Victorinox, c'est mon tout premier. Celui de Mac Gyver en plus simple. Eh oui, la coupe mulet faisait de l'effet à certaines petites filles dans les 80's 90's.
Il a fait toutes mes colos (eh ouais) et mes vacances.
Le dernier en date, très léger, très stylé, assez branchouille, le Deejo. Personnalisable, j'y ai donc mis de la nature, du noir et de l'olivier.
Photo 3 - mon meilleur couteau de cuisine.
Mon Santoku japonais martelé (Masutani), artisanal aussi, fabriqué à Echizen, ramené par ma sœur du Japon.
Mon plus fidèle compagnon en cuisine, super maniable, c'est le couteau polyvalent par excellence. Santoku signifie '3 vertus'. Il sait ciseler, trancher, émincer. La lame martelée (ou alvéolée) permet aussi aux aliments de ne pas adhérer à la lame, la découpe est ainsi plus fluide.